📕AVIS DE LECTURE📕
Salam, Coucou les readers 🦋
Voilà j’ai remis la machine en route après une grande panne (forcée) pendant les vacances!
Résumé:
Rien n’est plus proche de l’amour que la haine.
Après un divorce difficile, Maude rencontre le grand amour en la personne de Simon. Un homme dont la fille, Alice, lui mène hélas une guerre au quotidien. Lorsque Maude découvre l’adolescente en train de fumer du cannabis dans sa chambre, celle-ci la supplie de ne rien dire à son père et jure de ne jamais recommencer. Maude hésite, mais voit là l’occasion de tisser un lien avec elle et d’apaiser les tensions au sein de sa famille recomposée.
Six mois plus tard, Alice fume toujours en cachette et son addiction provoque un accident mortel. Maude devient malgré elle sa complice et fait en sorte que Simon n’apprenne pas qu’elle était au courant. Mais toute à sa crainte de le décevoir, elle est loin d’imaginer les effets destructeurs de son petit mensonge par omission…
Ceci n’est pas exactement une histoire d’amour, même si l’influence qu’il va exercer sur les héros de ce roman est capitale. Autant d’hommes et de femmes dont les routes vont se croiser au gré de leur façon d’aimer parfois, de haïr souvent.
Parce que dans les livres de Barbara Abel, comme dans la vie, rien n’est plus proche de l’amour que la haine…
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Mon avis:
Comme vous le savez je suis fan de cette auteure, donc je vais essayer de rester objective lol.
Ce n’est pas son meilleur thriller mais j’ai quand même beaucoup aimé.
On ne s’attend pas du tout au dénouement de l’intrigue (comme d’habitude avec elle, j’ai envie de dire) et à partir du moment où ça s’accélère je l’ai lu d’une traite.
Elle traite aussi dans ce roman des problèmes des familles recomposées et comme toujours elle a le don de montrer le pire comme le meilleur de ces relations atypiques et c’est très intéressant.
Les moins étaient peut-être le fait que certains personnages sont moins présents dans la deuxième partie du roman et du coup on oublie presque qui ils étaient quand ils sont mentionnés.
Et puis bon, la fin… mais c’est du Barbara Abel tout craché (pour les connaisseuses )